Ballon, pelle, rateau, seau et jokari. Sans oublier les maillots évidemment. Il n’en fallait pas beaucoup plus, selon nous les enfants, pour une semaine à la mer.
Un bloc de bois. Une balle de caoutchouc tenue par un fil élastique. Une raquette de bois blanc. C’était le jokari. Un des jeux classiques de notre enfance.
La version avec la balle de tennis ne viendrait que bien plus tard. Décevante somme toute lorsque la balle finissait par perdre de son lustre, à ressembler à une peluche qui aurait passé six mois dans une poubelle.
Question exercice, c’était notre squash. Un effort intense. Court le plus souvent. De quoi écouler un surcroit d’énergie. De passer par exemple la frustration d’être resté assis trop longtemps aux côtés des parents.
Jusqu’à l’accident inévitable. L’élastique qui lache. La balle qui file au loin. La course pour la récupérer. Et ma mère qui la répare, jusqu’à la prochaine fois.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire