Inoxydable ! Hugues Aufray est inoxydable !
Son premier disque date de 59. Avant ça, c’est sûr, je ne l’aurais pas écouté !
Connu ? On peut difficilement l’être plus. Même mes parents – qui n’en avaient pas vingt - avaient un disque de lui : Stewball sur une face, Céline sur l’autre. A moins que ce ne soit l’inverse puisqu’il y avait bien une face A et une face B sur les vinyls.
Mais - comme d’autres chez les scouts - c’est au patro que j’en ai entendu d’autres. Santiano par exemple, et Stewball à nouveau. Et à s’en casser les oreilles. A en avoir marre… et pourtant, on continuait. Des paroles, une histoire, qui coulent de source. Une mélodie facile à caser dans l’oreille et dans la bouche. Ce sont plutôt de ces chansons que l’on chante que de celles qu’on écoute ! A la veillée, dans le bus ou le car, en marchant.
Et la voix d’Hugues Aufray a quelque chose d’étrange. Qui pourrait la rendre rebutante. A moins qu’elle ne soit seulement de son époque. Ce fond de vibrato. Ce son un peu nasillard. Dans son genre, elle me fait penser à celle de Christophe (Aline … pour qu’elle revienne !). Pas identique, pas du tout, mais décalées toutes les deux. Hors format.
jeudi 12 juin 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire