Le matin, deux fois le midi, et le soir aussi, il y avait grand monde sur le chemin des usines.
Deux papeteries, celle du Pont de Warche, en bas de la ville, et Steinbach, en haut. Une tannerie. C’était tous les jours, à heures fixes, un grand déménagement de population qui allait au travail. Des dizaines et des centaines de vélos. Des piétons aussi. Qui se rendaient à l’usine ou qui en revenaient.
Sans grand bruit. Comme si elles étaient de gigantesques électro-aimants. Attirant ou repoussant telle ou telle particule. Inlassablement. Eternellement croyait-on alors !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire