L’ardoise, avec la touche qui permettait d’écrire dessus, faisait partie de nos jeux.
La touche, c’était un crayon bizarre – d’ardoise en fait -, qui permettait d’écrire sur l’ardoise. L’un et l’autre avaient fait partie de l’arsenal des enfants de la génération précédente. Pratiques pour apprendre les lettres et répéter à l’infini des exercices que l’on effaçait ensuite.
Je n’aimais pas l’ardoise. Comme d’autres détestent le grincement de la craie sur le tableau, mes doigts avaient eux aussi leurs détestations. Je préférais le papier !
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