Dis « Toyota » ! - « Tayoto ! » - Non « Toyota ! » - « … Trop difficile. »
Imaginerez-vous un jour le mal que nous avons eu a retenir, puis à dire Toyota. Et ne me parlez pas (mais ce serait bien plus tard) de Mitsubishi.
A peine moins étranger que le martien ou le klingon (la langue de Star Trek). Même dire « schild en vriend » sans accent était plus facile.
Une suite aléatoire de sons... alors que toutes les bandes dessinées nous avaient appris que les noms japonais avaient tous un sens (Yamamoto Kadératé par exemple) ou alors étaient des onomatopées faciles à retenir (Taka Takata, un brave soldat).
Mais franchement, Toyota, c’était trop. Un peu comme Mpenza, Ndiaye ou Mbanza Ngungu pour les bouches de nos journalistes d’aujourd’hui.
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