vendredi 1 février 2008

Coccinelle

Pour tourner, la Coccinelle sortait son piou-piou à droite ou à gauche.

Il y a tant à dire sur la VW (dites VéWé, pas Volxvaguenne comme les Français !) Coccinelle. Ses formes inimitables. Sa longévité. Sa place unique dans les esprits de plusieurs générations. Le bruit caractéristique de son moteur. Les films, un peu stupides, dont elle a fait l’objet. Et encore, et encore…
Mais, la magie de la Cox, c’était son piou-piou : les flèches de direction. Comme le bras du cycliste qui s’écarte du corps, à gauche ou à droite, mais qui en plus s’allume. Un accessoire d’un autre temps.
Quand on l’a supprimé, on a enlevé beaucoup à la bestiole. Elle est devenue presqu’une voiture comme les autres.

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