C’est un des souvenirs les plus étranges qu’il me reste. La certitude d’avoir, au moins une fois, entendu le crieur public.
C’était au coin de la route de Falize et de la rue Lebière. Et je ne devais pas être bien grand à l’époque.
Je n’ai plus aucun souvenir ni du bonhomme, ni de ce qu’il annonçait. Le crieur public annonçait les événements dans les quartiers alors que personne n’avait la télévision et que la radio ne transmettait évidemment pas nos nouvelles d’intérêt local.
Alors ? Une décision communale ? Un décès ? Ou bien alors quelque chose en rapport avec le carnaval ?
Aucune chance de jamais le savoir. Ma mémoire est gommée.
vendredi 22 février 2008
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