Pluie, soleil, puis neige à nouveau… un temps bien de saison pour les veaux de mars.
Dites donc giboulées de mars si cela vous plait, en mars je préfère penser à ses veaux. Veaux de Mars faudrait-il d’ailleurs écrire, s’agissant - paraît-il - d’une référence à une légende concernant le Dieu de la guerre. Mais peu importe.
Spectaculaires et imprévisibles, comme peuvent l’être les orages en été. Un quartier sera touché, une ville, et pas leurs voisins. On sort léger vêtu, comme pour profiter d’un ciel qui se met au grand beau… et voilà qu’on se retrouve dans une ambiance polaire.
C’est ce que j’adore dans notre météo pourrie. En plus d’être – soi-disant – pourrie, elle est imprévisible. Alors, en mars, je suis heureux !
jeudi 8 mai 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire