Si William Shakespeare a ses songes d'une nuit d'été, personne ne m’enlèvera mes odeurs d’une nuit d’été !
C’était entre Rocherat et Bullange.
En 1964 peut-être. Sinon, à l’été 1965.
Nous faisions un jeu de nuit dans un de ces terrains vagues couverts de ronces, de muriers, d’épilobes et de fougères aigles.
Il y faisait si nuit et si chaud. C’était en juillet sans doute.
J’ai encore le nez plein de ces odeurs de plantes. Une odeur qui habille le nez. Une odeur qui pourrait être celle d’aisselles, de sexe et de sueur. De parfums trop lourds et d’alcools trop forts.
lundi 21 juillet 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire