Le cristal de quartz et la pyrite étaient nos découvertes les plus précieuses.
Quartz, quartzite, le nez sur le rocher, un marteau ou un simple caillou à la main nous découvrions aussi d’autres aberrations dans la pierre. Pyrite, fossiles. Nous rêvions de géodes.
Un jour sont apparues les montres à quartz, avec leurs grands chiffres rouges sous leur enveloppe de plastique un peu vulgaire. Fascinantes de modernité, mais tout de même moins féériques que ces sortes de diamants.
La magie de la pierre précieuse a définitivement été balayée avec l’apparition de la montre à quartz analogique. Plus rien ne distinguerait une montre à quartz d’une autre. Le joyau qui y était caché était définitivement devenu – comme du diamant industriel – un simple accessoire de mécanique.
Et même les adeptes du new age et leur vulgaire goût des cristaux ne me rendront pas l'émerveillement ressenti face à ces éclats d’eau pétrifiée de mon enfance.
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