jeudi 13 mars 2008

Ruban de machine à écrire

Une pression sur un curseur, et la machine passait du noir au rouge, par la magie du ruban bicolore.

Le temps des machines à écrire classiques est bien loin maintenant.
Dès avant la généralisation de l’ordinateur, dans les années 70, elles avaient d’ailleurs déjà été submergées par l’arrivée des machines IBM à boules.
Faut-il donc en rappeler le principe. Le papier est maintenu sur un chariot qui se déplace de droite à gauche, au rythme de la frappe. Chaque touche du clavier commande une tige qui vient frapper le ruban. Qui lui-même imprime le papier.
Et ce ruban de tissus était donc, d’habitude, rouge et noir.
Quand on le mettait en place, ou quand on le rebobinait, on s’en mettait évidemment plein les doigts. Mais cela faisait partie des charmes de la dactylographie ! Pour corriger ? Il suffisait de tout reprendre à zéro… Et pour les exemplaires multiples ? Le papier carbone…

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